Comment aligner ses actions avec l’abondance facilement.
Aligner ses actions avec l’abondance, voilà une quête que je porte depuis des années — un peu comme tenter de capter une mélodie subtile dans le vent. Ce texte est pour vous si vous avez l’impression de pousser contre un mur invisible, malgré toute votre volonté. Parce que (vraiment) je l’ai vécu : j’ai fourni des efforts acharnés sans voir le fruit — et c’est déchirant, frustrant — on se sent vidé, trahi par soi-même.
Comment vous savez que vous êtes “hors-synchro” avec l’abondance.
Quand je regarde en arrière — notamment l’an passé avec les crises économiques qui frappent même les plus prudents — je perçois les signaux :
- un poids au plexus solaire, ce malaise sourd quand je devais facturer un service ;
- une voix intérieure qui siffle “tu ne mérites pas ça” quand une opportunité arrive ;
- la paralysie du “et si ça échoue encore ?” qui bloque tout mouvement ;
- des idées puissantes qui restent sur le papier, jamais incarnées.
Oui, ces indices sont comme des flashes — mais si vous les entendez, c’est déjà le début du basculement.
Trois axes pour réharmoniser vos gestes avec l’abondance.
Recentrer la richesse — en dedans d’abord.
Beaucoup pensent qu’“abondance” c’est gros chiffre sur compte, grande maison, etc. Tellement superficiel. J’ai appris (après des années) que ça commence par cette douce conviction : “je suis déjà assez” — ça tremble un peu, parfois ça vacille, mais ça tient.
Quand vous incarnez que l’abondance vous habite, vos actes (même petits) vibrent. Vous devenez aimant.
Balayer les croyances saboteuses (avec un peu d’audace).
Vous avez des récits intérieurs comme “l’argent corrompt”, “le succès rend seul”, “si j’ose, je perds”.
J’ai moi-même cru que “réussir” signifiait sacrifier ma santé. Résultat ? fatigue, burnout.
Pour les défier :
- notez-les, comme une liste de butin mentale ;
- questionnez : “est‑ce vrai pour moi ou juste hérité ?” ;
- imaginez l’alternative — une version plus généreuse, plus expansive.
Petit à petit, ces récits se fissurent. Et les fissures laissent passer la lumière.
Créer une carte d’actions micro‑éclairées.
J’appelle ça une “mini‑roadmap vivante”.
Elle ne doit pas être rigide — sinon elle se casse, comme un vase sur sol inégal.
Mais elle doit vous donner un cap :
- définissez vos thèmes essentiels (foi, création, liberté, contribution) ;
- posez des micro‑tâches (ex : envoyer un message que vous redoutez, proposer un tarif qui vous paraît “haut”) ;
- prévoyez des pauses pour vérifier : ça résonne ou pas ?
Ce mélange plan + improvisation est le terrain où l’abondance peut danser.
Exercices sensoriels & rituels d’accroche à l’abondance.
Voici quelques pistes (je les utilise encore) :
- chaque matin, inspirer l’abondance — visualisez une lumière chaude qui remonte de vos pieds jusqu’au cœur ;
- marcher dehors, pieds nus sur l’herbe, sentir l’humidité, l’air frais — “sentir” l’abondance sur votre peau ;
- journal express (3 minutes) : “ce que j’ai reçu aujourd’hui”, sans juger, juste accueillir ;
- mouvement libre — danser, étirer, respirer fort — pour décoller les énergies stagnantes ;
- créer : gribouiller, peindre, ou simplement jouer un son — peu importe si c’est bon ou pas.
Ces gestes nourrissent le terrain intérieur, comme arroser une plante fragile.
Quand agir ? Et comment éviter le piège du forçage.
Voici une vérité que j’ai souvent oubliée — vous pouvez agir même avec la peur (et oui, la peur peut être compagne).
Mais si vous forcez (clave, marteau, urgence), votre mouvement est aride.
Vous cherchez l’alignement si vous :
- attendez l’élan intérieur (mais là, ça n’arrive jamais — souvent) ;
- agissez en martyr, en jouant le “je dois” ;
- abandonnez dès que ça résiste.
L’alternatif : pratiquer la “persistance douce” — recommencer, tenir, mais sans brutalité. Même quand c’est flou. Même quand ça tangue.
Questions fréquentes (et mes réponses — parfois tordues).
Q : Faut-il tout revoir dans ma vie pour aligner ses actions avec l’abondance ?
R : Non. Commencez par un secteur — un seul — et y injecter votre état d’âme. De là, l’effet domino se produit.
Q : Pourquoi je n’ai pas de “preuve” tout de suite ?
R : Parce que certains signes sont invisibles — synchronicités, clarté intérieure, rencontres impromptues. Le tangible arrive plus tard.
Q : Est-ce que ce n’est que “spiritualité new‑age” ?
R : Si vous pensez ça, vous loupez la magie. Oui, il y a une dimension subtile — mais elle se connecte au concret : vos revenus, vos choix, vos relations.
Alignement dans différents univers de votre vie.
- Finance : arrêtez d’abord de lutter, laissez le flux venir — vous n’êtes pas obligé de “réussir” pour recevoir.
- Relationnel : être vrai, poser des limites — parfois ça coupe des liens superficiels, mais ça dégage l’espace pour du solide.
- Professionnel : choisir des projets qui résonnent (et refuser ceux qui vous vidangent).
- Santé / corps : écouter vos cycles, respecter vos besoins — ne jamais exténuer l’instrument qui porte votre être.
Contraintes sournoises et leur contournement.
- Le perfectionnisme : “attendre que tout soit parfait” tue l’initiative. Lancez une version imparfaite.
- La comparaison toxique : regarder l’autre est un poison lent. Tournez le regard vers votre chemin.
- Les distractions frivoles : agendas surchargés, engagements non désirés. Apprenez à dire non — ça protège votre champ intérieur.
- La zone de confort trompeuse : l’abondance vous pousse hors des rails habituels. Préparez-vous à tangenter l’inconfort.
Comment « voir » que ça bouge, vraiment.
Quelques signaux :
- des “coïncidences” étranges : vous pensez, puis le bon contact apparaît ;
- un recul de stress interne — parfois léger, imperceptible ;
- vous osez entreprendre des pas que vous redoutiez ;
- vos résultats matériels (clients, opportunités) amplifient.
Souvent, le subtil précède le visible — soyez attentif.

Quelques récits (vrais) — pour inspirer avec imperfections.
- Un collègue (anonyme) m’a confié : « j’ai doublé mes ventes en osant un tarif que je pensais “trop haut” ».
- Une amie a arrêté d’attendre “le bon moment” : elle a posté son offre “bêta” et ça a résonné.
- Pour ma part, j’ai résisté longtemps à “publier mes échecs” — puis j’ai osé — et ce sont eux qui ont touché.
Ces virages sont souvent discrets, invisibles aux yeux — mais puissants.
En guise de conclusion (mais pas une fin).
Je ne promets pas que tout va changer du jour au lendemain — parfois le rythme est erratique, fracturé.
Mais je vous offre ce guide — avec ses ratés, ses fulgurances — comme une carte pour naviguer.
Prenez un pas (le plus petit possible) — appliquez-le, remarquez ce qui se produit, ajustez.
Souhaitez‑vous que je vous accompagne avec un plan‑d’action sur 30 jours, ou un jeu d’exercices “aligner ses actions avec l’abondance” personnalisé ? Je peux le bâtir pour vous — dites-moi ce qui résonne.





