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Prospérer malgré les obstacles : les erreurs à éviter

Prospérer malgré les obstacles : ce que personne ne vous dit vraiment. 

Prospérer malgré les obstacles — c’est un peu comme chercher à danser sous la pluie tout en esquivant la foudre. Beau dans l’idée, chaotique dans l’exécution. Pourtant, on connaît tous quelqu’un qui semble le faire avec grâce, comme si le chaos lui soufflait des secrets à l’oreille.

Moi ? J’ai essayé de tout contrôler. Alerte : ça m’a explosé à la figure.

Quand tout part en vrille (et que t’as juste envie de dormir 3 jours). 

Parfois, tu te lèves et tout est de travers. Pas juste le réveil. Non. Ton avenir semble rétréci, ton courage est planqué sous le lit, et même ton café a un goût de renoncement.

On te dit de “tenir bon”, de “rester positif” – comme si les citations Instagram allaient te sortir de ta dette bancaire ou ramener ton job perdu. Merci, mais non merci.

Ce qu’on ne t’explique pas, c’est comment certaines personnes transforment le feu en carburant. Non pas qu’elles aiment souffrir – quoique – mais elles savent bricoler avec les cendres.

Lire entre les lignes du chaos.

Tu vois, les galères ont un langage. Elles parlent en silence, entre les lignes de ta routine. Un licenciement brutal devient une invitation mal polie à te réinventer. Une rupture sentimentale ? Une masterclass gratuite en amour-propre.

C’est violent. Et aussi étrangement révélateur.

Je me rappelle d’un moment — c’était pendant le deuxième confinement (oui, celui de 2021, où tout le monde faisait du banana bread comme si c’était la solution). J’avais perdu trois clients en une semaine. J’ai pleuré devant une pub pour des céréales. Et puis… j’ai revu mon plan de vie sur une serviette en papier. Littéralement. Par désespoir ou inspiration ? Franchement, je ne sais pas.

Les trucs qui ne sont pas dans les manuels.

Ce que ta prof de philo ne t’a jamais dit. 

On t’apprend à viser la stabilité. Mais on oublie de te dire que l’instabilité est le vrai prof. Celui qui n’a pas de programme, pas de diplôme à la fin, juste des cicatrices bien placées.

Et oui, parfois tu regardes autour de toi et tu te dis : “Mais pourquoi eux y arrivent et pas moi ?” Tu ne vois que la vitrine. Pas l’arrière-boutique, pas les nuits blanches, ni les 17 tentatives avortées.

Il faut désapprendre pour mieux pivoter.

Désapprendre que la ligne droite est la voie royale. Spoiler : c’est souvent une spirale qui monte en crabe.

Fais une pause. Pas une pause Netflix, hein. Une vraie. Assieds-toi avec ton chaos. Écoute-le. Il dit des trucs bizarres parfois, mais il ne ment pas.

Les outils qui sauvent la mise (ou du moins évitent l’effondrement total).

Le carnet de bord du survivant. 

J’écris chaque soir. Trois lignes, parfois vingt. Je note ce que j’ai foiré, ce que j’ai tenté, et ce que j’ai juste observé sans juger. C’est un peu comme poser une lampe torche dans la grotte.

 

La stratégie du “mini-reboot”.

Tu connais ce moment où ton ordi rame et tu redémarres tout ? Fais pareil avec ta tête. Marche. Coupe ton téléphone. Mange quelque chose de chaud. Et recommence.

Un jour, j’ai tout annulé – appels, mails, obligations. J’ai pris le train pour Saint-Malo. Juste pour respirer l’air salé et pleurer dans les embruns. Est-ce que ça a changé ma vie ? Non. Mais ça a stoppé l’hémorragie mentale.

Réponses aux vraies questions qu’on n’ose pas poser.

Pourquoi je n’y arrive pas alors que je fais “tout bien” ?

Parce que “bien faire” selon les standards, c’est souvent “faire comme tout le monde” – et ça ne garantit rien. Il faut parfois désobéir à ses propres routines.

Est-ce que c’est grave si je perds le moral toutes les semaines ?

Grave ? Non. Normal ? Absolument. Ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est un signe que tu es vivant, sensible, connecté au réel. Les machines ne dépriment pas, mais elles n’inventent rien non plus.

Ce qui fonctionne sans explication logique. 

Parfois, ce ne sont pas les grandes stratégies qui sauvent. C’est le fait de faire son lit. D’écouter Nina Simone en boucle. De repeindre un mur. Ou d’appeler ta mère juste pour entendre sa voix.

Les petites choses banales peuvent être des leviers cachés. Pas parce qu’elles ont du sens, mais parce qu’elles te ramènent à toi.

Une leçon piquée dans un match de foot. 

Souviens-toi du match France – Argentine en 2022. Les Bleus perdaient. Puis Mbappé marque deux fois en une minute. Boum. Le destin bascule.

Ce genre de retournement, tu peux l’appliquer à ta vie. Mais il faut rester dans le match. Même quand t’as plus de souffle, plus de jambes. Parce que parfois, l’égalisation arrive quand tu y crois à peine.

Le paradoxe de l’avancée silencieuse.

Ça ne se voit pas, mais tu bouges.

Tu penses que t’es bloqué, mais en fait t’es en gestation. Comme une graine sous la terre. Invisible, mais pas inactive.

Ralentir, c’est accélérer. 

Je sais, c’est contre-intuitif. Mais il y a des jours où faire moins, c’est préparer le terrain pour mieux. L’économie d’énergie est une stratégie, pas une paresse.

Prospérer malgré les obstacles
Prospérer malgré les obstacles

Une fin bancale, mais pleine d’élan. 

Il n’y aura jamais de moment parfait. Pas de feu d’artifice final. Juste une série de pas – hésitants, imparfaits, mais constants.

Tu veux prospérer malgré les obstacles ? Commence par rater joliment. Par choisir ton chaos plutôt que de le subir. Par faire un petit pas aujourd’hui, même bancal.

Le reste ? Tu l’inventeras en avançant.